Mais, le succès en affaires ne vient jamais par hasard. Il est le résultat d’un travail acharné, d’une persévérance sans faille et d’une capacité à apprendre de ses erreurs. Dans un monde où tout semble aller vite, il est important de se rappeler que rien ne remplace le travail rigoureux et constant. C’est ce travail qui construit des fondations solides pour des succès durables.

« Le seul endroit où le succès précède le travail, c’est dans le dictionnaire. »

Vidal Sassoon

Le succès n’est jamais gratuit ; il est la récompense d’un travail dur et constant. Alors allez y et libérez-vous de vos doutes.

Belle semaine à vous ! ✨🚀

L’article Good Vibes de la semaine S2 – #6 : avoir du succès en affaires ça prend du temps est apparu en premier sur Babaven.

Dans le domaine en constante évolution du jeu vidéo, le métier de Character Concept Artist occupe une place cruciale, nécessitant à la fois créativité et technique. Raymond Sébastien, un artiste conceptuel originaire des Antilles, s’est imposé dans ce milieu exigeant, avec un parcours inspirant allant de la Martinique aux plus grands studios internationaux comme Ubisoft Paris. Au fil de cette interview, il revient sur son cheminement, partage ses réflexions sur l’impact du digital et de l’intelligence artificielle sur son métier.

P.S : C’est aussi lui qui a fait l’illustration Babaven 😌 que vous pouvez voir ici ou sur la bannière de la chaîne youtube.

Parlez-nous de votre parcours, depuis vos débuts dans les Caraïbes jusqu’à votre arrivée dans les grandes entreprises françaises.

Mon parcours commence avec un bac S au lycée de Trinité en Martinique, suivi de deux années en DEUG MIAS (Mathématiques et Informatique Appliqués aux Sciences) sur le campus de Schoelcher. À ce moment, je me suis rendu compte que je n’étais pas passionné par ce domaine. J’ai alors pris une décision difficile mais essentielle : suivre ma passion, le dessin !

À 22 ans, alors que beaucoup de mes camarades signaient des CDI, j’ai décidé de repartir à zéro en intégrant l’école Emile Cohl à Lyon. Là-bas, j’ai acquis des bases solides en dessin et une discipline qui m’ont permis d’obtenir mon premier poste à 27 ans en tant que Marketing Artist 2D chez GOOD GAME STUDIO en Allemagne.

Quelles ont été les étapes clés de votre évolution ?

Cette expérience m’a permis de développer mes compétences en marketing, en dessin, mais aussi en anglais, ce qui a été un véritable tremplin pour ma carrière. De retour en France, j’ai rejoint PRETTY SIMPLE où j’ai eu la chance de travailler directement sur des jeux vidéo en tant que 2D Artist.

Cette expérience m’a permis de collaborer avec des artistes parmi les meilleurs de l’industrie. C’est à ce moment-là que j’ai découvert ma véritable passion : la création de personnages, ce qui m’a conduit à devenir Character Concept Artist.

À 34 ans [mieux vaux tard que jamais 🤣], j’ai rejoint le studio Tindalos Inc. sur la licence Alien, un projet stimulant qui a duré trois ans.

Parallèlement, je suis illustrateur, représenté par l’agence Shannon Associates à New York, ce qui m’a permis de collaborer avec des géants comme Marvel, Disney, et Penguin Random House.

Le passage au numérique a bouleversé de nombreux secteurs artistiques. Comment le digital a-t-il influencé votre travail et votre manière de créer ?

Le numérique a apporté une grande flexibilité à mon travail. Il permet de gagner du temps et de répondre aux demandes spécifiques des clients, notamment pour des retouches sur les concept arts ou illustrations.

Le digital me permet également d’innover plus facilement, que ce soit en termes de couleurs ou de styles graphiques, et d’utiliser des outils comme la 3D ou la photographie pour répondre aux standards de l’industrie.

Enfin, le numérique m’a offert l’opportunité de travailler à l’international avec des clients divers, ce qui a grandement contribué à ma stabilité financière.

L’intelligence artificielle devient de plus en plus présente dans le domaine de la création. En tant qu’artiste, craignez-vous que l’IA remplace une partie de votre métier, ou voyez-vous cela comme une opportunité d’enrichir votre processus créatif ?

Je parle ici de l’IA générative, comme Midjourney…

Remplace déjà certains métiers créatifs, et cela ne concerne pas seulement l’industrie artistique. Cependant, pour le concept art dans les jeux vidéo, les demandes restent trop spécifiques pour être entièrement gérées par une IA.

Un artiste doit toujours intervenir pour ajuster et affiner le travail.

L’IA peut certes accélérer la création de certains éléments, mais elle manque souvent d’originalité et d’émotion. Cela se voit dans certaines productions qui misent uniquement sur l’IA et qui souffrent d’un manque flagrant de direction artistique.

De plus, les grandes maisons d’édition spécifient souvent dans leurs contrats qu’aucune image générée par IA ne peut être utilisée, car ces créations ne peuvent pas être protégées par des droits d’auteur.

Je considère l’IA comme un outil parmi d’autres, comme Photoshop, à condition d’avoir un œil artistique affûté pour en tirer profit.

Quels sont, selon vous, les défis spécifiques auxquels les artistes des régions comme les Antilles peuvent faire face lorsqu’ils tentent de s’imposer à l’international, et comment peuvent-ils les surmonter ?

Déjà il faut savoir que les préjugés que l’on peut entendre sur les Antillais ne se retrouvent qu’en France. Donc on peut se lancer sans aucune crainte dans une carrière à l’international en tant qu’artiste antillais.

Le véritable défi est de comprendre ce que les entreprises internationales valorisent et de ne pas rester enfermé dans une mentalité franco-antillaise.

Si vous voulez travailler à distance depuis les antillais, la qualité du travail, l’originalité et l’expérience sont des facteurs décisifs pour intégrer une équipe internationale.

Quoi qu’il arrive, je pense qu’il faudra quitter à un moment ou un autre ses racines avant d’y revenir un peu plus tard…

Quels conseils donneriez-vous aux jeunes Antillais passionnés par le dessin et le digital, qui souhaitent se lancer dans une carrière de concept artist ?

Je leur dirais de ne pas hésiter à partir à l’étranger [pas forcément de façon définitive 😅], pour s’améliorer artistiquement et mentalement. Cela leur permettra également de comprendre comment les autres cultures pensent, fonctionnent et s’en inspirer.

Un américain ce n’est pas un Français qui parle anglais, il ne pense pas du tout comme pourrait le faire un espagnol, un japonais, un français. Ainsi, mieux comprendre l’autre permet de nouer de relations des partenariats sur le long terme partout dans le monde pour diversifier son approche artistique et ses revenus.

Il est important de nouer des relations internationales et d’enrichir son parcours en s’inspirant d’autres perspectives.

L’article Interview : l’Impact de l’IA sur le Concept Art est apparu en premier sur Babaven.

Oui, j’avoue ça fait très sermon, mais les doutes sont souvent les freins invisibles qui nous empêchent d’avancer. Dans le monde entrepreneurial, ces doutes se manifestent sous forme de peur de l’échec, de crainte du jugement ou d’incertitude face à l’avenir.

Pour surmonter ces obstacles, il est crucial de transformer ces doutes en des forces motrices qui nous poussent à nous dépasser. Chaque étape franchie, chaque doute surmonté, nous rapproche un peu plus de notre épanouissement. Et comme nous le fait si bien comprendre Roosevelt, en fin de compte, ce sont nos actions qui définiront nos succès.

« La seule limite à notre épanouissement de demain sera nos doutes d’aujourd’hui. »

Franklin D. Roosevelt

Ne laissez jamais vos doutes d’aujourd’hui entraver vos succès de demain et cultivez un environnement sain.

Belle semaine à vous ! ✨🚀

L’article Good Vibes de la semaine S2 – #5 : n’ayez pas de doutes est apparu en premier sur Babaven.

Loxymore, est un véritable média dédié à la représentation des genres souvent marginalisés comme le rap, le dancehall, le bouyon, et même le zouk. Mais comment Loxymore est devenu aujourd’hui le porte-voix d’une génération d’autodidactes qui, de leurs chambres aux scènes internationales, défient les codes et accumulent des millions de streams ?

Emmanuel FOUCAN, plus connu sous le pseudonyme de Shorty, est une figure incontournable dans le paysage médiatique des cultures urbaines, nous explique tout.

Loxymore, c’est un peu comme un bébé né de la passion et de la nécessité.

Quels ont été les principaux défis que tu as rencontrés lors de la création de Loxymore, et comment le digital  a-t-il aidé à les surmonter ?

Le premier obstacle, ça a été le financement. On n’avait pas d’investisseurs, juste des contacts de gens passionnés (s/o Julien Canourgues,Jutsu et Ludo Fotofwaf) et beaucoup de débrouillardise. Cependant, ça nous a poussés à être plus créatifs, à tirer le meilleur de chaque ressource disponible. Le digital, c’est ce qui nous a sauvés.

Grâce à des plateformes comme YouTube et Instagram, on a pu toucher un large public sans avoir besoin d’infrastructures coûteuses.

Le digital a aussi permis de connecter des talents et des voix de différents coins du monde : Guadeloupe, Martinique, Guyane, France hexagonale, Canada, et même les pays caribéens anglophones.

C’est grâce à cette technologie qu’on a pu créer une communauté soudée, malgré la distance, et donner la parole à ceux qui étaient souvent ignorés. Au final, c’est grâce au digital qu’on a pu transformer nos idées en réalité. Et faire résonner notre message bien au-delà de nos frontières.

En quoi le contenu numérique a-t-il transformé la manière dont Loxymore atteint son public cible, notamment dans la diaspora caribéenne ?

Le contenu numérique a été vraiment la base pour Loxymore. Sans ça, atteindre notre public cible, notamment la diaspora caribéenne, aurait été un vrai casse-tête avec les moyens traditionnels qui ne parlait pas de ces cultures dites urbaines.

Avec les plateformes en ligne, on peut créer et diffuser du contenu en temps réel, que ce soit des vidéos, des articles, ou des podcasts. On s’y est habitué un peu mais ce qui est fort, c’est qu’on peut toucher quelqu’un en Guadeloupe, en Martinique, Sainte-Lucie, Haïti, USA ou en France hexagonale, et même au-delà, en un clic.

Pour la diaspora caribéenne, c’est aussi un moyen de rester connectée avec ses racines et nous avons une belle audience en France hexagonale grâce à ça.

Le numérique nous a permis de créer des ponts entre les différentes îles caribéennes, de partager des histoires qui résonnent avec leur vécu, et de nourrir ce lien culturel, peu importe la distance. Le plus beau, c’est qu’on a pu créer un espace où chacun peut se reconnaître et où les voix de la diaspora peuvent s’exprimer librement, sans filtres.

En fin de compte, le contenu numérique a vraiment transformé Loxymore en un média global tout en restant profondément ancré dans notre culture caribéenne.

On parlait de défi, le prochain est de pouvoir s’exprimer ou a minima traduire dans les différentes langues parlées par les Caribéens !

Peux-tu partager des exemples concrets de stratégies digitales qui ont joué un rôle crucial dans l’augmentation de ton audience et de votre visibilité ?

Nous avons allié des stratégies éditoriales et digitales pour essayer de faire la différence. L’une de nos premières décisions stratégiques a été de ne pas rejeter les langues créoles dans notre contenu.

On voulait que chaque membre de notre communauté se sente représenté et compris, peu importe la langue qu’il parle.

En intégrant le créole, on a pu créer un lien plus fort avec notre audience caribéenne, en leur parlant dans une langue qui leur est chère. Tout en restant accessible à ceux qui ne la parlent pas.

Du coup, nous avons rapidement sous-titré les contenus (également en pensant au public mal entendant évidemment).

Ensuite, on a choisi de parler ouvertement des difficultés spécifiques aux Caribéens, que ce soit sur le plan social, économique ou culturel.

Le meilleur exemple est le streaming via Spotify qui n’est accessible que depuis 2 ou 3 ans grâce au travail combiné de plusieurs entités (la team Hit Lokal, Kalash, etc). 

En abordant ces sujets de front, on a pu toucher des gens qui ne se sentaient pas toujours concernés par les médias traditionnels. C’était important pour nous de montrer qu’on comprend les réalités de notre communauté et qu’on est là pour en parler avec sincérité.

Un autre aspect clé de notre stratégie a été de viser la meilleure qualité possible. Malgré nos ressources limitées et de rester présent avec un rythme régulier. On a toujours essayé d’offrir un contenu visuel et sonore qui rivalise avec celui des grands médias internationaux.

Des standards élevés

On s’est fixé des standards élevés, en se disant que notre audience mérite le meilleur, même si on ne disposait pas des mêmes moyens financiers. Cette recherche de qualité a clairement joué en notre faveur, en donnant à Loxymore une crédibilité et une image professionnelle. Sur les réseaux sociaux, nous avons choisi d’alterner entre des artistes reconnus et des artistes en développement.

Cette approche nous a permis de toucher un public varié, en mettant en avant des talents confirmés qui attirent une large audience, tout en donnant une plateforme aux artistes émergents. Cela a non seulement enrichi notre contenu, mais aussi renforcé notre engagement envers la promotion de la culture caribéenne dans toute sa diversité.

Tout ceci couplé à des stratégies « classiques » sur les réseaux sociaux pour augmenter l’engagement (jeux concours, appels à l’action…).

Enfin, un autre élément important a été notre présence sur les événements culturels et festivals. Les organisateurs, en nous accueillant, nous ont offert l’opportunité de discuter et de recevoir des artistes venant de territoires plus difficilement accessibles.

Cela nous a permis non seulement de diversifier notre contenu, mais aussi d’élargir notre audience en touchant des publics que nous n’aurions peut-être pas pu atteindre autrement.

Ces stratégies globales ont été essentielles pour accroître notre audience et renforcer notre visibilité, tout en restant fidèle à notre mission de représenter notre communauté de manière authentique et professionnelle.

Comment Loxymore utilise-t-il les plateformes de médias sociaux pour renforcer l’engagement et la fidélité de sa communauté aussi bien sur les plateformes que sur le terrain ?

Nous ne nous contentons pas de diffuser du contenu, nous cherchons vraiment à impliquer notre audience de manière active et authentique.

Sur des plateformes comme Instagram et YouTube, nous privilégions des formats qui encouragent l’interaction. Les lives sont essentiels pour nous : ils permettent à notre audience de réagir en direct, de poser des questions, et de participer à des discussions en temps réel. Cela crée une proximité et une routine où notre communauté sait qu’elle peut échanger avec nous directement.

On s’assure également de répondre aux commentaires et de créer des discussions dans les stories, pour maintenir cet engagement au quotidien.

Des formats immersifs

D’ailleurs, une des initiatives phares que nous avons mises en place est notre concept de Live Story, qui permet à nos abonnés de vivre certains événements comme s’ils y étaient, en direct.

Ce format immersif fait entrer notre audience via Instagram au cœur des festivals, des concerts, et d’autres événements culturels, leur offrant une expérience presque palpable même à distance.

C’est un moyen efficace de créer un pont entre ceux qui assistent aux événements sur place et ceux qui suivent depuis chez eux. En parallèle, nous avons développé l’émission Indeh (littéralement « inside »), qui emmène nos spectateurs dans les coulisses des événements culturels majeurs.

Cette émission permet à notre communauté de découvrir les dessous des scènes artistiques, de rencontrer les acteurs culturels, et de vivre une expérience exclusive que peu de médias offrent.

C’est un autre moyen de renforcer l’attachement de notre audience à Loxymore, en leur offrant un accès privilégié aux événements qui comptent pour eux.

Sur les réseaux sociaux, nous alternons également entre la mise en avant d’artistes reconnus et d’artistes en développement. Cela incite notre communauté à revenir régulièrement pour découvrir de nouveaux talents tout en suivant des figures emblématiques.

En combinant ces stratégies en ligne avec une présence forte sur le terrain, nous avons réussi à créer une communauté engagée, fidèle, et profondément connectée à l’univers de Loxymore. Nos abonnés savent qu’ils ne sont pas de simples spectateurs : ils vivent l’expérience avec nous, que ce soit à travers un écran ou au cœur des événements.

Avec l’évolution rapide du paysage numérique, quelles sont les prochaines étapes pour Loxymore en termes de croissance et d’innovation digitale ?

Le paysage numérique : ça va vite (🤣 rires), et on fait tout pour rester à la pointe. Cette année, par exemple, on s’est lancés sur TikTok.

On explore de nouvelles stratégies, on teste des formats inédits, et on s’efforce de maîtriser cet algorithme particulier qui demande une approche différente de ce qu’on fait sur les autres plateformes.

TikTok est un terrain de jeu formidable pour nous, et on voit déjà comment il peut nous aider à toucher un public encore plus large, notamment parmi les plus jeunes.

En parallèle, on a également expérimenté sur Twitch. C’est une plateforme encore peu développée aux Antilles, surtout en dehors du gaming, mais on y voit un potentiel énorme.

On a fait quelques tests pour voir comment on peut y créer du contenu qui résonne avec notre audience, tout en cherchant à comprendre les dynamiques spécifiques de cette plateforme. Même si Twitch est encore un défi pour nous, on pense que c’est un terrain à explorer davantage à l’avenir.

Un autre aspect crucial de notre développement, c’est la recherche de financement.

Le financement est important

On sait que pour continuer à innover et à produire du contenu de qualité, il nous faut des ressources supplémentaires. Nous travaillons activement à obtenir des financements qui nous permettraient de sponsoriser nos contenus, de booster notre visibilité et d’offrir encore plus de valeur à notre communauté.

Enfin, on est en veille constante. C’est un travail de tous les instants, surtout quand on sait que les algorithmes changent presque toutes les semaines sur absolument toutes les plateformes. On s’adapte en permanence, on teste de nouvelles approches, et on reste flexibles pour suivre les tendances du moment.

Cette veille acharnée est essentielle pour rester compétitifs et continuer à grandir dans un environnement aussi dynamique que celui du numérique.

En gros, Loxymore continue d’évoluer en expérimentant sur de nouvelles plateformes, en cherchant à renforcer notre financement, et en restant constamment à l’affût des dernières tendances digitales. C’est ce qui nous permet de rester innovants et de continuer à offrir un contenu qui parle à notre communauté.

Si tu as un message à transmettre aux jeunes générations des Antilles, quel serait-il ?

Ne sous-estimons jamais la puissance de ce que nous portons en nous. En effet, le zouk, par exemple, c’est chez nous que ça a commencés, et regardez comment ça a conquis le monde. On a tous ce même pouvoir en nous.

Le développement de nos cultures ne passe pas uniquement par la France hexagonale (même s’il ne faut évidemment pas négliger cette partie). La Caraïbe, c’est un terrain immense, plein de possibilités. Il faut que nous nous connections avec nos voisins, que nous collaborions, et que nous créions ici, chez nous.

Il y a tellement à faire et à bâtir dans la région. Nous devons rester fiers de qui nous sommes, que nous innovions à partir de nos racines, et que nous sachions que nous pouvons aller loin, ensemble. C’est le mot-clé !

L’article Interview : comment LOXYMORE est devenu LE média de la culture Urbaine Caribéenne est apparu en premier sur Babaven.

Trop souvent la tête dans le guidon, on oublie parfois ce qui est essentiel. Le bonheur réside dans le fait de créer quelque chose qui a du sens, de bâtir une équipe où règne la bienveillance, et de mener des actions qui apportent une réelle valeur à ses clients et à la société.

« Le bonheur n’est pas quelque chose de prêt à l’emploi. Il vient de vos propres actions. »

Dalaï Lama

Les entreprises qui cultivent un environnement de travail sain et éthique, où chaque employé se sent valorisé, voient souvent un impact positif sur leur productivité et leur rétention des talents.

Votre bonheur entrepreneurial est une construction quotidienne, nourrie par des actions alignées avec vos valeurs et votre vision.

Belle semaine à vous ! ✨🚀

L’article Good Vibes de la semaine S2 – #4 : cultiver un environnement de travail sain est apparu en premier sur Babaven.

 » Commencez par changer en vous ce que vous voulez changer autour de vous. « 

Mahatma Gandhi

Aujourd’hui, plus que jamais, les entreprises les plus prospères sont souvent dirigées par des leaders qui incarnent leur vision. Par exemple, une entreprise qui prône la durabilité doit d’abord s’assurer que ses propres pratiques internes sont alignées avec cette vision.

Et même si c’est difficile, le changement commence toujours par soi-même, et c’est ainsi que l’on peut inspirer et transformer son environnement professionnel.

Belle semaine à vous ! ✨🚀

L’article Good Vibes de la semaine S2 – #3 : La vision dans l’entreprise est apparu en premier sur Babaven.

Que tu sois freelance, entrepreneur ou même salarié. Alors, tu te demandes peut-être : c’est quoi ce fameux personal branding dont tout le monde parle ? Comment on s’y prend pour bien l’utiliser ? Et surtout, pourquoi est-ce qu’il est devenu aussi incontournable dans le monde pro ?

Ne t’inquiète pas, dans cet article, je vais tout te dire : ce que c’est, pourquoi ça marche, comment tu peux toi aussi te lancer et surtout, quelques petits trucs à savoir pour éviter les pièges.

C’est quoi le Personal Branding ?

Le personal branding, c’est tout simplement l’art de te « vendre » toi-même. Pas plus compliqué que ça !

Aujourd’hui, les recruteurs, les clients, les partenaires d’affaires, tout le monde est sur le web. Ils te googlent, ils regardent tes réseaux sociaux, ton site, et ils se font une opinion en quelques secondes. Donc, le personal branding, c’est le fait de créer et contrôler ton image sur Internet.

En gros, c’est comme si tu devenais ta propre marque. Il ne s’agit plus seulement de ce que tu fais, mais de la manière dont tu te présentes et te vends au monde. On parle ici de ton image professionnelle, de tes valeurs, de ce que tu apportes aux autres.

Pourquoi utiliser le Personal Branding ?

1. Se différencier des autres

Aujourd’hui, dans presque tous les domaines, la concurrence est rude.

Le personal branding permet de te différencier. En te créant une identité unique, tu rends ton profil mémorable. Les gens vont se souvenir de toi, parce que tu te démarques avec ta personnalité, tes compétences et ce que tu apportes.

2. Attirer les bonnes opportunités

Quand tu travailles sur ton personal branding, tu attires les bonnes personnes : les recruteurs, les clients ou les partenaires qui correspondent à tes valeurs et à ce que tu proposes. Ça te permet d’avoir des opportunités qui te ressemblent et qui correspondent à ton projet professionnel.

3. Gagner en crédibilité

Avec une image de marque bien construite, tu montres au monde que tu es un expert dans ton domaine. Ça donne confiance et ça inspire. Si les gens voient que tu maîtrises ton sujet et que tu communiques de manière claire et professionnelle, ils seront plus enclins à te faire confiance.

4. Devenir une référence

Si tu travailles bien ton personal branding, tu peux devenir une référence dans ton domaine. Les gens penseront automatiquement à toi quand ils auront besoin de services ou de conseils dans ton secteur. C’est ce qu’on appelle le leadership d’opinion. À terme, tu peux même devenir un « influenceur » dans ton secteur.

Comment bien utiliser le Personal Branding ?

Maintenant que tu sais pourquoi c’est utile, voyons comment tu peux, toi aussi, te lancer dans cette aventure du personal branding.

1. Définis ton identité

Avant tout, pose-toi les bonnes questions : qui es-tu, qu’est-ce que tu fais, quelles sont tes valeurs et qu’est-ce que tu veux que les autres sachent de toi ? Ton personal branding doit être aligné avec qui tu es vraiment, sinon, ça sonnera faux.

Par exemple, si tu es quelqu’un de créatif et d’original, ton branding devrait refléter cette personnalité. Mais si tu es plus sérieux et professionnel, ça doit aussi se ressentir dans ton image de marque. L’idée, c’est que ton personal branding soit authentique et fidèle à toi-même.

2. Crée du contenu pertinent

Le personal branding, c’est aussi montrer ton expertise. Et quoi de mieux que de créer du contenu pour ça ? Que ce soit sur un blog, sur LinkedIn, Instagram ou même un podcast, partage tes connaissances, tes réflexions et tes idées. Plus tu produis du contenu de qualité, plus tu te positionnes comme un expert.

En créant du contenu, tu montres aux autres ce que tu sais faire, tout en leur apportant de la valeur. Les gens viendront à toi naturellement, parce qu’ils reconnaîtront que tu apportes quelque chose de différent et d’utile.

3. Soigne ton image en ligne

Ton image en ligne, c’est essentiel pour ton personal branding. Que ce soit ton site web, tes réseaux sociaux ou même ta photo de profil LinkedIn, tout doit être cohérent. Les gens se feront une opinion de toi très rapidement, alors autant faire bonne impression dès le début.

Utilise des visuels qui te ressemblent, choisis un ton qui correspond à ta personnalité et sois toujours cohérent dans tes prises de parole. Et surtout, fais attention à ce que tu publies : tout ce que tu dis ou postes sur Internet peut influencer ton image de marque.

4. Reste actif et engage-toi

Le personal branding, ce n’est pas un truc que tu fais une fois et que tu laisses tomber. Pour que ça marche, il faut être régulier et rester actif. N’hésite pas à interagir avec ta communauté, à participer à des discussions, à partager des articles et à répondre aux commentaires. Plus tu es présent, plus tu renforceras ton image et ta crédibilité.

5. Ne copie pas les autres

C’est tentant de regarder ce que font les autres et de vouloir faire pareil. Mais attention, le personal branding repose avant tout sur l’authenticité. Si tu copies quelqu’un d’autre, ça se verra tout de suite. Inspire-toi des bonnes pratiques, mais surtout, reste toi-même. C’est ce qui te permettra de vraiment te démarquer et de réussir à créer une image unique.

Les points forts du Personal Branding

Le personal branding, c’est plein d’avantages, surtout à l’heure actuelle où tout passe par Internet et les réseaux sociaux.

• Visibilité accrue : Un bon personal branding te rend visible aux yeux de ceux qui comptent : recruteurs, clients, partenaires. Plus tu travailles ton image, plus tu attires d’opportunités.
• Crédibilité : En travaillant ton image et en montrant que tu es un expert, tu gagnes en crédibilité. Les gens te feront plus facilement confiance.
• Connexions plus fortes : Le personal branding te permet de créer des liens avec des gens qui partagent les mêmes valeurs et les mêmes objectifs que toi.
• Opportunités professionnelles : Plus tu te fais connaître, plus tu as de chances de décrocher des projets, des partenariats ou des offres d’emploi intéressantes.

Les limites du Personal Branding

Le personal branding a beau avoir beaucoup de points forts, il y a aussi quelques limites à garder en tête.

1. Ça demande du temps

Construire son personal branding, ce n’est pas un truc que tu fais en deux jours. Ça demande du temps, de la réflexion et beaucoup de régularité. Il faut être prêt à investir dans cette démarche sur le long terme.

2. Ça peut créer de la pression

Quand tu construis ton image publique, tu peux vite te sentir sous pression. Il faut être présent, répondre aux sollicitations, produire du contenu… Et tout ça peut parfois devenir épuisant. Il faut trouver un bon équilibre pour ne pas se laisser déborder.

3. Risque de superficialité

Le personal branding peut aussi pousser à vouloir paraître parfait, à lisser son image pour plaire à tout le monde. Attention à ne pas tomber dans ce piège. Les gens préfèrent l’authenticité à la perfection. Donc, n’essaie pas de te créer une fausse image.

Incontournable de nos jours

Le personal branding, c’est devenu un outil incontournable dans le monde d’aujourd’hui. Que tu sois à la recherche d’un emploi, en quête de nouveaux clients ou simplement désireux de te faire connaître, construire une marque personnelle forte peut vraiment faire la différence.

Alors, pourquoi ne pas te lancer ? Sois toi-même, sois régulier et montre au monde ce que tu as à offrir. C’est en travaillant ton personal branding que tu pourras te démarquer, attirer de belles opportunités et surtout, construire une carrière qui te ressemble.

Et toi, prêt à créer ta marque personnelle ? 🚀

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Le fondateur et actionnaire majoritaire du groupe français Iliad, connu pour avoir bouleversé le secteur des télécommunications avec Free, fait son entrée au conseil d’administration de ByteDance le propriétaire du réseau social mondialement populaire TikTok.

La nouvelle, aussi surprenant qu’inattendue, puisque comme nous le savons tous TikTok se trouve sous le feu des projecteurs, en particulier sous la pression croissante des autorités américaines et européennes concernant la sécurité des données et les méthodes de gestion des informations personnelles de la plateforme.

« Nous sommes ravis que Xavier rejoigne notre conseil d’administration et nous nous réjouissons de pouvoir compter sur ses conseils, sa contribution et son inspiration. Nous continuerons à renforcer la diversité des compétences et de l’expertise au sein de notre conseil d’administration afin de préserver les intérêts généraux de l’entreprise et de tous les actionnaires. »

L’arrivée de Xavier Niel au conseil d’administration de ByteDance est à la fois surprenante et stratégiquement intéressante. Niel est reconnu pour sa capacité à bousculer les industries dans lesquelles il s’implique, que ce soit avec Free dans les télécommunications ou ses projets dans l’éducation et l’immobilier. Sa présence dans une entreprise comme ByteDance pourrait apporter une nouvelle dynamique, particulièrement dans le contexte actuel où TikTok fait face à des enjeux réglementaires complexes en Occident.

L’impact de Xavier Niel sur l’avenir de ByteDance et TikTok : analyse stratégique

D’un point de vue stratégique, cette nomination montre la volonté de ByteDance de diversifier les profils de ses dirigeants, notamment en s’ouvrant à des personnalités influentes dans les technologies européennes. Xavier Niel, par son expérience en matière de réglementation européenne et sa vision innovante, pourrait contribuer à aider l’entreprise à mieux comprendre et à répondre aux attentes des régulateurs, particulièrement dans une Europe de plus en plus méfiante à l’égard des entreprises chinoises.

Cependant, cette décision soulève des questions sur les raisons qui ont poussé Niel à accepter ce poste. Est-ce uniquement un intérêt économique, ou est-ce le signe d’une ambition plus large de s’impliquer dans l’univers des réseaux sociaux, un secteur où il est encore peu présent ? Par ailleurs, en s’associant à ByteDance, il expose indirectement sa propre image à la controverse qui entoure TikTok, notamment aux États-Unis, où les débats sur la sécurité des données et l’influence chinoise sont au cœur des discussions politiques.

Les enjeux sont donc multiples. Pour ByteDance, cette nomination permet d’avoir une voix européenne de poids dans ses instances dirigeantes, renforçant son ancrage en Occident. Pour Xavier Niel, c’est l’opportunité de s’impliquer dans un des écosystèmes numériques les plus influents de notre époque.

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La vie, c’est 10 % ce qui nous arrive et 90 % comment nous y réagissons.

Charles R. Swindoll

Face à une crise, comme une pandémie mondiale, les entreprises qui ont su s’adapter rapidement, réinventer leurs modèles économiques ou exploiter de nouvelles opportunités sont celles qui ont survécu, voire prospéré.

Votre succès dépend donc moins de ce qui vous arrive que de la manière dont vous décidez d’y réagir.

Belle semaine à vous ! ✨🚀

L’article Good Vibes de la semaine S2- #2 : S’avoir s’adapter est apparu en premier sur Babaven.

Le succès, c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme.

Winston Churchill

Cette citation de Churchill est un véritable mantra pour tout entrepreneur. L’échec fait partie intégrante du parcours entrepreneurial. Que ce soit un produit qui ne trouve pas son marché, une stratégie qui échoue, ou un client clé qui se désiste, ces obstacles sont inévitables.

Les entrepreneurs qui réussissent sont souvent ceux qui savent rebondir après chaque échec, en gardant toujours la flamme 🔥 de l’enthousiasme allumée. Ce sont ces échecs qui affinent leur stratégie et les rapprochent du succès.

🦾 Ne laissez jamais un échec définir votre parcours, laissez plutôt votre enthousiasme et vos actions tracer la voie vers votre réussite.

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Ileco, pour ceux qui ne connaissent pas encore cette application, permet la dématérialisation des prospectus.

Créée par deux jeunes Martiniquais, Alan Abatuci et sa femme UX/UI designer, ils ont lancé l’application afin d’apporter des solutions aux enseignes de Martinique qui distribuaient 80 millions de prospectus en 2021.

Téléchargée plus de 180 000 fois, l’application compte environ un million d’utilisateurs potentiels en Martinique, Guadeloupe, Guyanes, Saint-Martin et Saint-Barthélemy.

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L’application a une vocation écologique et stratégique

De plus en plus, les commerces font attention à leur impact sur l’environnement et mettent en place des politiques RSE. D’autre part, la loi se renforce pour les commerces récalcitrants, les poussant à faire attention.

En ce sens, les enseignes doivent trouver des alternatives aux canaux de publicité traditionnels et s’adapter aux nouveaux usages des consommateurs.

« Les enseignes dépensent énormément de budget dans la distribution de prospectus, alors qu’ils vont très souvent à la poubelle car les clients n’ont pas demandé à recevoir ces offres ».

Alan Abatuci, pour Forbes France

Ileco, permet d’allier écologie, économie et stratégie ! Puisqu’en plus de permettre aux enseignes de bénéficier d’une large audience, Ileco leur propose un back-office dédié où ils peuvent suivre et administrer leurs campagnes.

C’est ainsi que les commerçants peuvent intégrer l’application dans leur stratégie de communication globale, tout en mesurant leurs actions.

« Ils peuvent suivre leurs KPI et l’audience de leurs prospectus digitaux avec de nombreuses informations. Nous avons aussi développé une Heat map, afin de mieux connaître les zones de chalandises exposées aux catalogues, ce qui nous permet d’analyser le drive-to-store. On ne fait pas que leur apporter des prospects qualifiés, prêts à passer à l’acte d’achat, on leur propose d’ajuster toute leur stratégie de communication autour de leurs promotions ».

Alan Abatuci, pour Forbes France

Une application qui a encore de beaux jours devant elle et qui ne tardera pas à partir à la conquête de l’Océan Indien.

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Le NEC a pour vocation à fédérer de larges communautés d’acteurs professionnels réunis par des valeurs communes.

Qui œuvrent et accompagnent les usagers éloignés du numérique à l’accès aux droits et au développement de leurs compétences numériques.

La première édition du NEC Martinique

C’est ainsi, qu’UP & Space et la Milcem, deux associations œuvrant pour l’inclusion numérique en Martinique, s’associent pour faire vivre la première édition du NEC Martinique du 4 au 7 Octobre 2022 à l’IMS et à l’hôtel batelière.

D’ailleurs, cette année, l’événement portera sur le thème de l’inclusion numérique vue sous le prisme de la dématérialisation des démarches, le non-recours aux droits, mais aussi la montée en compétences numériques qui nous concerne tous.

En outre, les objectifs sont clairs : réunir pour la première fois toutes les forces vives de l’accueil et de l’accompagnement au numérique.

Avec le pari de s’appuyer sur la construction collaborative.

Les autres objectifs de l’événement sont :

• Amorcer la construction d’un réseau d’acteur de l’inclusion numérique territorial identifiable
• Présenter un état des lieux de l’inclusion numérique
• Présenter les dispositifs états en faveur de l’inclusion numérique : Pass numérique Aptic, Aidants connect, conseiller numérique France services, Hub territoriaux pour un numérique inclusif, …
• Sensibiliser les élus sur le non-recours aux droits des populations non-connectées
• Amorcer l’accélération de la montée en compétences numérique de la population

AU PROGRAMME

• REGARDS CROISÉS : Des paroles d’experts, chercheurs et acteurs autour de sujets structurants, prospectifs et capacitant

• TEMPS DE PLÉNIÈRES : En ouverture et en clôture de l’événement, le temps des annonces et des grands enseignements
• MASTERCLASS : Des RDV avec des experts pour développer ses compétences professionnelles et savoir-faire. L’occasion de découvrir des ressources, des outils et rencontrer les acteurs de l’écosystème de la médiation numérique en Martinique
• ATELIERS COLLABORATIFS : Opérationnels ou exploratoires, ces temps sont prévus pour prototyper, élaborer un plan d’action ou produire des livrables sur des sujets précis.

Pour consulter le programme détaillé de l’événement et vous inscrire, suivez le lien :

Lien d’inscription : https://www.eventbrite.fr/e/billets-nec-martinique-2022-412379767987

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