Loxymore, est un véritable média dédié à la représentation des genres souvent marginalisés comme le rap, le dancehall, le bouyon, et même le zouk. Mais comment Loxymore est devenu aujourd’hui le porte-voix d’une génération d’autodidactes qui, de leurs chambres aux scènes internationales, défient les codes et accumulent des millions de streams ?

Emmanuel FOUCAN, plus connu sous le pseudonyme de Shorty, est une figure incontournable dans le paysage médiatique des cultures urbaines, nous explique tout.

Loxymore, c’est un peu comme un bébé né de la passion et de la nécessité.

Quels ont été les principaux défis que tu as rencontrés lors de la création de Loxymore, et comment le digital  a-t-il aidé à les surmonter ?

Le premier obstacle, ça a été le financement. On n’avait pas d’investisseurs, juste des contacts de gens passionnés (s/o Julien Canourgues,Jutsu et Ludo Fotofwaf) et beaucoup de débrouillardise. Cependant, ça nous a poussés à être plus créatifs, à tirer le meilleur de chaque ressource disponible. Le digital, c’est ce qui nous a sauvés.

Grâce à des plateformes comme YouTube et Instagram, on a pu toucher un large public sans avoir besoin d’infrastructures coûteuses.

Le digital a aussi permis de connecter des talents et des voix de différents coins du monde : Guadeloupe, Martinique, Guyane, France hexagonale, Canada, et même les pays caribéens anglophones.

C’est grâce à cette technologie qu’on a pu créer une communauté soudée, malgré la distance, et donner la parole à ceux qui étaient souvent ignorés. Au final, c’est grâce au digital qu’on a pu transformer nos idées en réalité. Et faire résonner notre message bien au-delà de nos frontières.

En quoi le contenu numérique a-t-il transformé la manière dont Loxymore atteint son public cible, notamment dans la diaspora caribéenne ?

Le contenu numérique a été vraiment la base pour Loxymore. Sans ça, atteindre notre public cible, notamment la diaspora caribéenne, aurait été un vrai casse-tête avec les moyens traditionnels qui ne parlait pas de ces cultures dites urbaines.

Avec les plateformes en ligne, on peut créer et diffuser du contenu en temps réel, que ce soit des vidéos, des articles, ou des podcasts. On s’y est habitué un peu mais ce qui est fort, c’est qu’on peut toucher quelqu’un en Guadeloupe, en Martinique, Sainte-Lucie, Haïti, USA ou en France hexagonale, et même au-delà, en un clic.

Pour la diaspora caribéenne, c’est aussi un moyen de rester connectée avec ses racines et nous avons une belle audience en France hexagonale grâce à ça.

Le numérique nous a permis de créer des ponts entre les différentes îles caribéennes, de partager des histoires qui résonnent avec leur vécu, et de nourrir ce lien culturel, peu importe la distance. Le plus beau, c’est qu’on a pu créer un espace où chacun peut se reconnaître et où les voix de la diaspora peuvent s’exprimer librement, sans filtres.

En fin de compte, le contenu numérique a vraiment transformé Loxymore en un média global tout en restant profondément ancré dans notre culture caribéenne.

On parlait de défi, le prochain est de pouvoir s’exprimer ou a minima traduire dans les différentes langues parlées par les Caribéens !

Peux-tu partager des exemples concrets de stratégies digitales qui ont joué un rôle crucial dans l’augmentation de ton audience et de votre visibilité ?

Nous avons allié des stratégies éditoriales et digitales pour essayer de faire la différence. L’une de nos premières décisions stratégiques a été de ne pas rejeter les langues créoles dans notre contenu.

On voulait que chaque membre de notre communauté se sente représenté et compris, peu importe la langue qu’il parle.

En intégrant le créole, on a pu créer un lien plus fort avec notre audience caribéenne, en leur parlant dans une langue qui leur est chère. Tout en restant accessible à ceux qui ne la parlent pas.

Du coup, nous avons rapidement sous-titré les contenus (également en pensant au public mal entendant évidemment).

Ensuite, on a choisi de parler ouvertement des difficultés spécifiques aux Caribéens, que ce soit sur le plan social, économique ou culturel.

Le meilleur exemple est le streaming via Spotify qui n’est accessible que depuis 2 ou 3 ans grâce au travail combiné de plusieurs entités (la team Hit Lokal, Kalash, etc). 

En abordant ces sujets de front, on a pu toucher des gens qui ne se sentaient pas toujours concernés par les médias traditionnels. C’était important pour nous de montrer qu’on comprend les réalités de notre communauté et qu’on est là pour en parler avec sincérité.

Un autre aspect clé de notre stratégie a été de viser la meilleure qualité possible. Malgré nos ressources limitées et de rester présent avec un rythme régulier. On a toujours essayé d’offrir un contenu visuel et sonore qui rivalise avec celui des grands médias internationaux.

Des standards élevés

On s’est fixé des standards élevés, en se disant que notre audience mérite le meilleur, même si on ne disposait pas des mêmes moyens financiers. Cette recherche de qualité a clairement joué en notre faveur, en donnant à Loxymore une crédibilité et une image professionnelle. Sur les réseaux sociaux, nous avons choisi d’alterner entre des artistes reconnus et des artistes en développement.

Cette approche nous a permis de toucher un public varié, en mettant en avant des talents confirmés qui attirent une large audience, tout en donnant une plateforme aux artistes émergents. Cela a non seulement enrichi notre contenu, mais aussi renforcé notre engagement envers la promotion de la culture caribéenne dans toute sa diversité.

Tout ceci couplé à des stratégies « classiques » sur les réseaux sociaux pour augmenter l’engagement (jeux concours, appels à l’action…).

Enfin, un autre élément important a été notre présence sur les événements culturels et festivals. Les organisateurs, en nous accueillant, nous ont offert l’opportunité de discuter et de recevoir des artistes venant de territoires plus difficilement accessibles.

Cela nous a permis non seulement de diversifier notre contenu, mais aussi d’élargir notre audience en touchant des publics que nous n’aurions peut-être pas pu atteindre autrement.

Ces stratégies globales ont été essentielles pour accroître notre audience et renforcer notre visibilité, tout en restant fidèle à notre mission de représenter notre communauté de manière authentique et professionnelle.

Comment Loxymore utilise-t-il les plateformes de médias sociaux pour renforcer l’engagement et la fidélité de sa communauté aussi bien sur les plateformes que sur le terrain ?

Nous ne nous contentons pas de diffuser du contenu, nous cherchons vraiment à impliquer notre audience de manière active et authentique.

Sur des plateformes comme Instagram et YouTube, nous privilégions des formats qui encouragent l’interaction. Les lives sont essentiels pour nous : ils permettent à notre audience de réagir en direct, de poser des questions, et de participer à des discussions en temps réel. Cela crée une proximité et une routine où notre communauté sait qu’elle peut échanger avec nous directement.

On s’assure également de répondre aux commentaires et de créer des discussions dans les stories, pour maintenir cet engagement au quotidien.

Des formats immersifs

D’ailleurs, une des initiatives phares que nous avons mises en place est notre concept de Live Story, qui permet à nos abonnés de vivre certains événements comme s’ils y étaient, en direct.

Ce format immersif fait entrer notre audience via Instagram au cœur des festivals, des concerts, et d’autres événements culturels, leur offrant une expérience presque palpable même à distance.

C’est un moyen efficace de créer un pont entre ceux qui assistent aux événements sur place et ceux qui suivent depuis chez eux. En parallèle, nous avons développé l’émission Indeh (littéralement « inside »), qui emmène nos spectateurs dans les coulisses des événements culturels majeurs.

Cette émission permet à notre communauté de découvrir les dessous des scènes artistiques, de rencontrer les acteurs culturels, et de vivre une expérience exclusive que peu de médias offrent.

C’est un autre moyen de renforcer l’attachement de notre audience à Loxymore, en leur offrant un accès privilégié aux événements qui comptent pour eux.

Sur les réseaux sociaux, nous alternons également entre la mise en avant d’artistes reconnus et d’artistes en développement. Cela incite notre communauté à revenir régulièrement pour découvrir de nouveaux talents tout en suivant des figures emblématiques.

En combinant ces stratégies en ligne avec une présence forte sur le terrain, nous avons réussi à créer une communauté engagée, fidèle, et profondément connectée à l’univers de Loxymore. Nos abonnés savent qu’ils ne sont pas de simples spectateurs : ils vivent l’expérience avec nous, que ce soit à travers un écran ou au cœur des événements.

Avec l’évolution rapide du paysage numérique, quelles sont les prochaines étapes pour Loxymore en termes de croissance et d’innovation digitale ?

Le paysage numérique : ça va vite (🤣 rires), et on fait tout pour rester à la pointe. Cette année, par exemple, on s’est lancés sur TikTok.

On explore de nouvelles stratégies, on teste des formats inédits, et on s’efforce de maîtriser cet algorithme particulier qui demande une approche différente de ce qu’on fait sur les autres plateformes.

TikTok est un terrain de jeu formidable pour nous, et on voit déjà comment il peut nous aider à toucher un public encore plus large, notamment parmi les plus jeunes.

En parallèle, on a également expérimenté sur Twitch. C’est une plateforme encore peu développée aux Antilles, surtout en dehors du gaming, mais on y voit un potentiel énorme.

On a fait quelques tests pour voir comment on peut y créer du contenu qui résonne avec notre audience, tout en cherchant à comprendre les dynamiques spécifiques de cette plateforme. Même si Twitch est encore un défi pour nous, on pense que c’est un terrain à explorer davantage à l’avenir.

Un autre aspect crucial de notre développement, c’est la recherche de financement.

Le financement est important

On sait que pour continuer à innover et à produire du contenu de qualité, il nous faut des ressources supplémentaires. Nous travaillons activement à obtenir des financements qui nous permettraient de sponsoriser nos contenus, de booster notre visibilité et d’offrir encore plus de valeur à notre communauté.

Enfin, on est en veille constante. C’est un travail de tous les instants, surtout quand on sait que les algorithmes changent presque toutes les semaines sur absolument toutes les plateformes. On s’adapte en permanence, on teste de nouvelles approches, et on reste flexibles pour suivre les tendances du moment.

Cette veille acharnée est essentielle pour rester compétitifs et continuer à grandir dans un environnement aussi dynamique que celui du numérique.

En gros, Loxymore continue d’évoluer en expérimentant sur de nouvelles plateformes, en cherchant à renforcer notre financement, et en restant constamment à l’affût des dernières tendances digitales. C’est ce qui nous permet de rester innovants et de continuer à offrir un contenu qui parle à notre communauté.

Si tu as un message à transmettre aux jeunes générations des Antilles, quel serait-il ?

Ne sous-estimons jamais la puissance de ce que nous portons en nous. En effet, le zouk, par exemple, c’est chez nous que ça a commencés, et regardez comment ça a conquis le monde. On a tous ce même pouvoir en nous.

Le développement de nos cultures ne passe pas uniquement par la France hexagonale (même s’il ne faut évidemment pas négliger cette partie). La Caraïbe, c’est un terrain immense, plein de possibilités. Il faut que nous nous connections avec nos voisins, que nous collaborions, et que nous créions ici, chez nous.

Il y a tellement à faire et à bâtir dans la région. Nous devons rester fiers de qui nous sommes, que nous innovions à partir de nos racines, et que nous sachions que nous pouvons aller loin, ensemble. C’est le mot-clé !

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Que tu sois freelance, entrepreneur ou même salarié. Alors, tu te demandes peut-être : c’est quoi ce fameux personal branding dont tout le monde parle ? Comment on s’y prend pour bien l’utiliser ? Et surtout, pourquoi est-ce qu’il est devenu aussi incontournable dans le monde pro ?

Ne t’inquiète pas, dans cet article, je vais tout te dire : ce que c’est, pourquoi ça marche, comment tu peux toi aussi te lancer et surtout, quelques petits trucs à savoir pour éviter les pièges.

C’est quoi le Personal Branding ?

Le personal branding, c’est tout simplement l’art de te « vendre » toi-même. Pas plus compliqué que ça !

Aujourd’hui, les recruteurs, les clients, les partenaires d’affaires, tout le monde est sur le web. Ils te googlent, ils regardent tes réseaux sociaux, ton site, et ils se font une opinion en quelques secondes. Donc, le personal branding, c’est le fait de créer et contrôler ton image sur Internet.

En gros, c’est comme si tu devenais ta propre marque. Il ne s’agit plus seulement de ce que tu fais, mais de la manière dont tu te présentes et te vends au monde. On parle ici de ton image professionnelle, de tes valeurs, de ce que tu apportes aux autres.

Pourquoi utiliser le Personal Branding ?

1. Se différencier des autres

Aujourd’hui, dans presque tous les domaines, la concurrence est rude.

Le personal branding permet de te différencier. En te créant une identité unique, tu rends ton profil mémorable. Les gens vont se souvenir de toi, parce que tu te démarques avec ta personnalité, tes compétences et ce que tu apportes.

2. Attirer les bonnes opportunités

Quand tu travailles sur ton personal branding, tu attires les bonnes personnes : les recruteurs, les clients ou les partenaires qui correspondent à tes valeurs et à ce que tu proposes. Ça te permet d’avoir des opportunités qui te ressemblent et qui correspondent à ton projet professionnel.

3. Gagner en crédibilité

Avec une image de marque bien construite, tu montres au monde que tu es un expert dans ton domaine. Ça donne confiance et ça inspire. Si les gens voient que tu maîtrises ton sujet et que tu communiques de manière claire et professionnelle, ils seront plus enclins à te faire confiance.

4. Devenir une référence

Si tu travailles bien ton personal branding, tu peux devenir une référence dans ton domaine. Les gens penseront automatiquement à toi quand ils auront besoin de services ou de conseils dans ton secteur. C’est ce qu’on appelle le leadership d’opinion. À terme, tu peux même devenir un « influenceur » dans ton secteur.

Comment bien utiliser le Personal Branding ?

Maintenant que tu sais pourquoi c’est utile, voyons comment tu peux, toi aussi, te lancer dans cette aventure du personal branding.

1. Définis ton identité

Avant tout, pose-toi les bonnes questions : qui es-tu, qu’est-ce que tu fais, quelles sont tes valeurs et qu’est-ce que tu veux que les autres sachent de toi ? Ton personal branding doit être aligné avec qui tu es vraiment, sinon, ça sonnera faux.

Par exemple, si tu es quelqu’un de créatif et d’original, ton branding devrait refléter cette personnalité. Mais si tu es plus sérieux et professionnel, ça doit aussi se ressentir dans ton image de marque. L’idée, c’est que ton personal branding soit authentique et fidèle à toi-même.

2. Crée du contenu pertinent

Le personal branding, c’est aussi montrer ton expertise. Et quoi de mieux que de créer du contenu pour ça ? Que ce soit sur un blog, sur LinkedIn, Instagram ou même un podcast, partage tes connaissances, tes réflexions et tes idées. Plus tu produis du contenu de qualité, plus tu te positionnes comme un expert.

En créant du contenu, tu montres aux autres ce que tu sais faire, tout en leur apportant de la valeur. Les gens viendront à toi naturellement, parce qu’ils reconnaîtront que tu apportes quelque chose de différent et d’utile.

3. Soigne ton image en ligne

Ton image en ligne, c’est essentiel pour ton personal branding. Que ce soit ton site web, tes réseaux sociaux ou même ta photo de profil LinkedIn, tout doit être cohérent. Les gens se feront une opinion de toi très rapidement, alors autant faire bonne impression dès le début.

Utilise des visuels qui te ressemblent, choisis un ton qui correspond à ta personnalité et sois toujours cohérent dans tes prises de parole. Et surtout, fais attention à ce que tu publies : tout ce que tu dis ou postes sur Internet peut influencer ton image de marque.

4. Reste actif et engage-toi

Le personal branding, ce n’est pas un truc que tu fais une fois et que tu laisses tomber. Pour que ça marche, il faut être régulier et rester actif. N’hésite pas à interagir avec ta communauté, à participer à des discussions, à partager des articles et à répondre aux commentaires. Plus tu es présent, plus tu renforceras ton image et ta crédibilité.

5. Ne copie pas les autres

C’est tentant de regarder ce que font les autres et de vouloir faire pareil. Mais attention, le personal branding repose avant tout sur l’authenticité. Si tu copies quelqu’un d’autre, ça se verra tout de suite. Inspire-toi des bonnes pratiques, mais surtout, reste toi-même. C’est ce qui te permettra de vraiment te démarquer et de réussir à créer une image unique.

Les points forts du Personal Branding

Le personal branding, c’est plein d’avantages, surtout à l’heure actuelle où tout passe par Internet et les réseaux sociaux.

• Visibilité accrue : Un bon personal branding te rend visible aux yeux de ceux qui comptent : recruteurs, clients, partenaires. Plus tu travailles ton image, plus tu attires d’opportunités.
• Crédibilité : En travaillant ton image et en montrant que tu es un expert, tu gagnes en crédibilité. Les gens te feront plus facilement confiance.
• Connexions plus fortes : Le personal branding te permet de créer des liens avec des gens qui partagent les mêmes valeurs et les mêmes objectifs que toi.
• Opportunités professionnelles : Plus tu te fais connaître, plus tu as de chances de décrocher des projets, des partenariats ou des offres d’emploi intéressantes.

Les limites du Personal Branding

Le personal branding a beau avoir beaucoup de points forts, il y a aussi quelques limites à garder en tête.

1. Ça demande du temps

Construire son personal branding, ce n’est pas un truc que tu fais en deux jours. Ça demande du temps, de la réflexion et beaucoup de régularité. Il faut être prêt à investir dans cette démarche sur le long terme.

2. Ça peut créer de la pression

Quand tu construis ton image publique, tu peux vite te sentir sous pression. Il faut être présent, répondre aux sollicitations, produire du contenu… Et tout ça peut parfois devenir épuisant. Il faut trouver un bon équilibre pour ne pas se laisser déborder.

3. Risque de superficialité

Le personal branding peut aussi pousser à vouloir paraître parfait, à lisser son image pour plaire à tout le monde. Attention à ne pas tomber dans ce piège. Les gens préfèrent l’authenticité à la perfection. Donc, n’essaie pas de te créer une fausse image.

Incontournable de nos jours

Le personal branding, c’est devenu un outil incontournable dans le monde d’aujourd’hui. Que tu sois à la recherche d’un emploi, en quête de nouveaux clients ou simplement désireux de te faire connaître, construire une marque personnelle forte peut vraiment faire la différence.

Alors, pourquoi ne pas te lancer ? Sois toi-même, sois régulier et montre au monde ce que tu as à offrir. C’est en travaillant ton personal branding que tu pourras te démarquer, attirer de belles opportunités et surtout, construire une carrière qui te ressemble.

Et toi, prêt à créer ta marque personnelle ? 🚀

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Mème : Kézako ?

En gros, un mème, c’est comme cette blague que tout le monde reprend à sa sauce. Ça commence par une image ou une vidéo marrante, et ça finit par envahir vos réseaux sociaux. Vous connaissez sûrement le fameux « Success Kid« , ce bébé qui a l’air de célébrer une petite victoire personnelle. Ou encore « Grumpy Cat« , le chat le plus blasé du web. Bref, un mème, c’est ce que l’on partage pour exprimer une idée ou un sentiment avec humour, sans même avoir besoin de parler.

L’origine des Mèmes : Du Bebop au Buzz

Les mèmes nés hier. Avant même qu’Internet ne devienne ce qu’il est aujourd’hui, les mèmes existaient sous d’autres formes, comme des slogans ou des dessins humoristiques. Mais c’est vraiment avec l’essor du web que les mèmes ont explosé. Le premier mème internet célèbre ? Le « Dancing Baby » en 1996, qui a fait son chemin dans les boîtes mail du monde entier. Depuis, les mèmes sont devenus un langage universel.

Certains mèmes ont littéralement explosé sur la toile. Prenez « Distracted Boyfriend« , cette image où un gars détourne les yeux de sa copine pour mater une autre fille. C’est le mème parfait pour toutes sortes de situations où l’on veut illustrer la distraction ou l’envie de nouveauté. D’autres mèmes, comme « Y U No » ou « Bad Luck Brian », sont devenus cultes grâce à leur capacité à capturer des moments de vie en un seul regard.

D’ailleurs, si vous êtes un véritable amateur de mèmes, vous connaissez probablement Memedroid. Pour les autres, Memedroid est une plateforme dédiée aux mèmes, où les utilisateurs peuvent créer, partager et commenter des mèmes en tout genre. C’est un peu comme le Disneyland des mèmes, avec des tonnes de contenu hilarant à explorer.

Mèmes et entreprises : un duo viral ?

Les entreprises ne sont pas en reste lorsqu’il s’agit de sauter dans le train des mèmes. Utilisés de manière stratégique, les mèmes peuvent devenir des outils de communication puissants, car ils permettent de capter l’attention d’un large public de manière rapide et engageante. Prenons l’exemple de l’entreprise Wendy’s, célèbre pour son utilisation audacieuse de mèmes sur Twitter. Leur style unique et leur utilisation de l’humour sur les réseaux sociaux ont rapidement fait d’eux une référence en matière de communication numérique, les rendant viraux à de nombreuses reprises. Autre exemple : Netflix, qui n’hésite pas à détourner des mèmes pour promouvoir ses séries, créant ainsi un lien fort avec sa communauté.

L’astuce ? Bien choisir son moment et son mème. Une bonne utilisation des mèmes par une entreprise repose sur la pertinence et la compréhension des tendances actuelles. Lorsqu’ils sont bien utilisés, les mèmes peuvent booster l’engagement, améliorer la visibilité de la marque et même rendre une entreprise plus « cool » aux yeux des consommateurs. Mais attention, une mauvaise utilisation ou une tentative trop évidente de « surfer » sur une tendance peut se retourner contre une marque et la rendre ridicule. La clé est donc de rester authentique et de comprendre son audience.

La Ligne Rouge des Mèmes : Y a-t-il des Limites ?

La réponse courte : oui, carrément. Si un mème sur un chat en colère peut amuser la galerie, un mème sur un sujet sensible peut être dangereux. Dans les entreprises, par exemple, un mème mal utilisé peut ruiner une réputation en quelques secondes. Il est essentiel de savoir où poser la limite entre l’humour et l’irrespect. Bref, tous les sujets ne se prêtent pas au jeu du mème.

Les mèmes sont là pour rester, et tant mieux ! Ils sont drôles, ils sont rapides, et ils permettent de communiquer de manière ludique. Mais attention à ne pas en abuser. Dans la vie comme sur Internet, tout est question de timing. Les mèmes peuvent faire rire, détendre, mais ils peuvent aussi blesser ou discréditer. Alors, avant de cliquer sur « envoyer », demandez-vous si votre mème est vraiment au bon endroit, au bon moment. Si c’est le cas, allez-y, faites-nous rire. Sinon, réfléchissez à deux fois. Après tout, l’humour, c’est bien, mais pas à n’importe quel prix !

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Même si vous n’avez jamais entendu parler des « polices de couleur« , vous les utilisez probablement tous les jours ; les emoji sont des polices de couleur.

Les polices de couleur permettent de spécifier les couleurs dans le fichier de police, et un glyphe peut avoir plusieurs couleurs. Les polices non colorées (c’est-à-dire la plupart des polices existantes) spécifient uniquement l’emplacement de la couleur. Un glyphe ne peut avoir qu’une seule couleur, et si vous voulez que votre police soit autre chose que noire, vous devez la modifier manuellement.

Les Emoji sont donc le cas d’utilisation le plus évident des polices de couleur, mais les typographes ou les fonderies (ceux qui créent les polices de caractères) utilisent cette technologie pour créer des caractères hautement expressifs et personnalisables, notamment dans le tout nouveau format COLRv1.

Qu’est-ce que le format de police COLRv1 a de si spécial ?

Il y a plusieurs choses. Tout d’abord, COLRv1 est un format vectoriel binaire (contrairement aux polices couleur bitmap d’antan), ce qui signifie que les polices peuvent être mises à l’échelle sans être pixellisées.

De plus, en superposant les glyphes et en réutilisant ces couches dans des glyphes similaires, la taille des fichiers reste compacte. COLRv1, qui est déjà disponible dans Chrome, Android et dans l’API Google Fonts, prend en charge les éléments suivants :

Les dégradés

Tous les dégradés CSS courants sont possibles, et plusieurs dégradés peuvent être inclus dans un seul glyphe.

Des palettes de couleurs multiples

Le typographe ou la fonderie peut choisir d’inclure plusieurs options de palette de couleurs dans la police pour une utilisation avec CSS.

Personnalisation des palettes de couleurs

Vous pouvez personnaliser les palettes de couleurs en CSS grâce à la fonction : font-palette-values.

Les variations OpenType

Vous pouvez également ajouter des axes variables en modifiant l’ombre et la profondeur de la police de couleur.

Autant dire que les possibilités de personnalisation d’une police COLRv1 sont littéralement infinies !

Pour avoir plus d’information voici une vidéo en Français :

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C’est ce qu’on appelle l’empreinte carbone. Lorsque nous générons collectivement plus de carbone que la Terre ne peut en absorber, le CO2 supplémentaire contribue au changement climatique.

Même les activités quotidiennes les plus anodines augmentent notre empreinte carbone, comme l’utilisation d’Internet. Bien que les données qui circulent sur le Web soient essentiellement invisibles, elles sont traitées et stockées dans des centres massifs à travers le monde.

Ces centres de données fonctionnent 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, attendant d’envoyer des informations à nos appareils numériques, qu’il s’agisse de vidéos, de podcasts, de musique, d’actualités, de mèmes ou de messages.

Toutes ces données que nous tenons pour acquises à portée de clic selon notre mentalité « toujours connectée », finissent par contribuer à notre empreinte carbone numérique. Il n’est pas facile de mesurer notre impact individuel, mais nous pouvons prendre des mesures pour le réduire.

Comment améliorer son empreinte carbone numérique ?

1. Ajuster la consommation d’énergie

Configurez votre ordinateur pour qu’il économise de l’électricité en se mettant en veille ou en suspendant l’activité, lorsque vous faites une pause.

Si vous éteignez complètement votre ordinateur, votre moniteur et votre imprimante lorsque vous ne les utilisez pas, vous réaliserez davantage d’économies.

2. Réduire la luminosité de votre moniteur

Selon le responsable de l’énergie de la Harvard Law School, réduire la luminosité du moniteur de 70 % à 100 % peut économiser jusqu’à 20 % de l’électricité consommée par l’appareil. De plus, plus la lumière est faible, moins il y a de fatigue oculaire.

3. Activer la protection stricte contre le suivi

Les services de suivi des données engloutissent des montagnes d’informations. Sur presque tous les sites Web que vous visitez, des données vous concernant sont transmises à des dizaines, voire des centaines d’entreprises. Pour cela, il est recommandé de mettre en place un protection stricte contre le suivi des données. Cela se traduira par une consommation d’électricité moindre, mais certains sites peuvent être difficiles d’accès.

4. Télécharger au lieu de streamer

Le streaming de musique et de vidéos augmente votre empreinte carbone numérique. Si vous téléchargez au lieu de diffuser, vous ne téléchargerez les données du serveur qu’une seule fois. Certains services de streaming parviennent mieux à atténuer leur impact écologique que d’autres, selon le rapport Clicking Clean de Greenpeace.

Par exemple, Facebook et Youtube sont des entreprises soucieuses de leurs empreinte carbone et récolte la note de A sur ce rapport.

5. Réutiliser les recherches

De nombreuses requêtes de recherche que vous faites avec votre moteur de recherche sont de type navigation, c’est-à-dire que vous ne voulez pas toujours trouver quelque chose mais que vous voulez aller quelque part où vous êtes déjà allé.

Un exemple est la recherche de Facebook.com pour accéder à votre compte Facebook. Lorsque vous effectuez la recherche, au lieu d’aller directement sur le site, les informations sont envoyées de votre page de moteur de recherche à leurs serveurs pour traiter les données avant de renvoyer une liste de résultats.

Ce traitement contribue à votre empreinte carbone numérique, mais il existe un autre moyen de le contourner : en sauvegardant le site dans vos favoris.

Aussi, commencez simplement à taper dans la barre d’adresse et la liste déroulante de saisie semi-automatique vous montre les pages Web correspondantes de votre historique de recherche, les onglets ouverts, les pages Web synchronisées et celles que vous avez marquées ou mises en signet.

Au lieu de traiter une recherche, vous pouvez vous rendre directement à votre destination et le processus n’ajoutera rien à votre empreinte carbone.

6. Bloquer la lecture automatique de la vidéo

La lecture de vidéos consomme plus d’énergie, alors pourquoi ne pas arrêter de lire des vidéos que vous ne voulez pas nécessairement regarder ? Il suffit de bloquer la lecture automatique de vos vidéos et de lancer uniquement celles que vous souhaitez regarder.

7. Supprimer vos emails

Si vous recevez de nombreux email publicitaires ou des newsletter que vous ne lisez pas, alors arrêtez tout de suite ! Déstockez toutes les données inutiles.

Tous les emails dont vous n’avez plus besoin : emails de plusieurs années, publicitaires, spams, corbeilles, brouillons.

8. S’ennuyer

C’est bien ça, vous avez bien lu. Au lieu de regarder votre téléphone portable à chaque minute d’inactivité, lisez un livre, sortez marcher, déconnectez vous de vos écrans.

Non seulement vous ferez du bien (même minime) à la planète, mais aussi à votre cerveau.

À moins que beaucoup d’entre nous ne se débranchent en même temps, aucune des étapes ci-dessus ne réduirait de manière mesurable l’empreinte carbone numérique, mais c’est quelque chose.

De la même façon que vous mettez en place le recyclage chez vous, il faut commencer à penser à votre empreinte carbone numérique.

Toutes nos petites actions peuvent conduire à de grands changements dans le futur.

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Créée en 2013. Elle compte actuellement plus de 3,5M d’utilisateurs. Cette année à levée plus de 140M$,avec ce nouveau financement, Webflow atteint une valorisation de près de 1,7 milliard d’euros.

Webflow, est un outil permettant la conception de sites Web et la gestion de contenu (CMS).

Mais son principal avantage et sa principale différence avec les autres c’est, ce qu’ils appellent le « Designer ».

C’est-à-dire qu’il vous permet de créer des pages Web personnalisées sous développement sans code.

No-code : développement web sans codes

No-code est une alternative de développement qui s’engage à démocratiser l’accès aux logiciels.

Puisqu’il cherche à éliminer les barrières que l’apprentissage de la programmation suppose pour construire tout type d’outil, produit ou service pour atteindre le public.

Ainsi, le no-code, permet aux personnes qui n’ont pas les connaissances ou les outils pour le faire de développer des logiciels.

L’un des principaux champions du no-code est Webflow, une entreprise fondée en 2013 qui grâce à un système  » glisser-déposer «  facilite la création de sites Web et d’applications pour les personnes qui n’ont pas des connaissances techniques spécifiques.

Son constructeur est intuitif et facile à utiliser et génère automatiquement le code HTML, CSS ou JavaScript au fur et à mesure que l’utilisateur conçoit visuellement le site.

Tandis que les modifications sont présentées en temps réel pour garder un contrôle exact de la conception.

Mais contrairement à ses concurrents qui prônent « no-code », comme Wix ou encore Jimdo – qui proposent la création de site web gratuitement et facilement– Webflow, est un outil qui s’adresse davantage aux professionnels et notamment aux pros du web design.

D’ailleurs, l’éditeur s’appelle le Designer et il est si complet qu’il peut s’avérer compliqué pour un débutant.

Webflow : designer et développer en même temps

Webflow n’est pas basé sur des template, mais sur un environnement de développement visuel.

Contrairement à WordPress, où vous allez choisir un template et travailler sur la base de ce template, et être limité une fois que vous voudrez pousser la personnalisation un peu plus loin car vous n’avez pas les plugins ou autre…

Avec Webflow, vous serez en mesure de TOUT modifier, car on se base sur un environnement de développement. Et pour cela, il vous faudra quand même avoir des connaissances en HTML, PHP, CSS ou JavaScript.

En termes de croissance, la startup basée à San Francisco a déclaré avoir doublé le nombre de ses clients payants en 2020 à 100 000, en plus de lancer un nouveau produit d’entreprise avec prise en charge de l’authentification unique, conformité de la sécurité, protection DDoS avancée optimisée par AWS, surveillance de la disponibilité, et plus encore.

Les grandes marques utilisent Webflow

Actuellement, plusieurs entreprises utilisent leur plate-forme sans code pour créer leurs sites Web, notamment Dell, qui utilise Webflow pour développer des sites Web internes hébergeant du contenu tels que des guides de style , tandis que Hello Sign, la division de signature électronique de Dropbox utilise la plate-forme pour concevoir, développer et héberger toutes ses pages marketing.

De nombreuses entreprises utilisent Webflow pour le prototypage rapide, le lancement de microsites ou de petites pages de destination.

Il est donc particulièrement utile pour les équipes marketing, start-up, TPE, qui ont besoin d’un développement professionnel rapide.

Les équipes de développement, peuvent également utiliser l’API Webflow pour connecter le site à des outils externes tels que HubSpot ou Mailchimp.

Les autres entreprises qui utilisent Webflow sont Mural, Zendesk, Rakuten, UpWork et Eventbrite.

À la suite de cette ronde de financement, Webflow prévoit d’étendre ses outils avec :

• Des connexions améliorées
• Un paiement en temps réel,
• Une recherche et un filtrage,
• Une prise en charge des sites web multilingues,

Ainsi que des compétences en apprentissage automatique pour aider les créateurs de sites Web, entre autres choses.

Autant vous dire, que c’est l’outil rêvé des designers !

L’article Webflow : outil de création de sites web no-code à destination des pros est apparu en premier sur Babaven.

En effet, la société a lancé une mise à jour et WhatsApp Web fonctionne déjà même sans avoir le mobile connecté.

La dernière mise à jour de WhatsApp vous permet d’utiliser la plateforme depuis votre ordinateur sans dépendre de votre mobile

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Cette possibilité était jusqu’à présent en test, en phase bêta, mais elle est maintenant passée dans une phase stable qui rend l’utilisation de la fonction indépendante entre les appareils, transformant ainsi WhatsApp en une plate-forme avec prise en charge multi-appareils.

Comme de nombreuses autres applications de messagerie instantanée , parmi eux son grand rival Telegram.

Installer Whatsapp Web sur votre ordinateur

Bien entendu, pour bénéficier de cette nouvelle fonctionnalité, il est nécessaire d’installer la dernière version de l’application WhatsApp. Pour iOS, il s’agit de la version 2.21.211.2 ; sur Desktop, version 2.2140.12 et sur le web version 2.2142.12

Il est important de se rappeler que, le fonctionnement de la version de bureau et de la version Web est le même.

Vous pourrez donc répondre à vos appelles depuis votre ordinateur ou faire une visio.

La seule différence par rapport à ce qui existait précédemment, c’est qu’il n’est plus nécessaire d’avoir le mobile ou Whatsapp est installé proche de vous.

Utiliser plusieurs comptes Whatsapp en même temps

En fait, à partir de WhatsApp, ils signalent la possibilité de pouvoir utiliser la plate-forme de messagerie instantanée à partir de quatre appareils en même temps, qu’il s’agisse d’un ordinateur, d’une tablette ou de plusieurs téléphones mobiles.

Ce dernier permettra, pour la première fois, de pouvoir utiliser le même compte WhatsApp depuis différents mobiles en même temps. Cela est un grand plus pour les entreprises qui utilise Whatsapp dans leur gestion de relation client au quotidien.

Cela représente une avancée importante puisque WhatsApp a autorisé son utilisation sur un ordinateur pour la première fois, en 2015.

Ce que d’autres plates-formes rivales, telles que Telegram, autorisaient déjà depuis longtemps.

La mise en œuvre de la nouvelle fonctionnalité WhatsApp est mise en place progressivement, de sorte que certains utilisateurs, même s’ils ont mis à jour la version de l’application, doivent attendre un certain temps.

L’article Whatsapp Web : connectez-vous sans votre téléphone est apparu en premier sur Babaven.

Pourquoi Facebook devient META ?

Pour ceux qui ne le savent pas, cela fait des années que META (anciennement Facebook) travaille sur des projets autour de de l’intelligence artificielle, de la réalité virtuelle et j’en passe.

Inspiré par la science-fiction, et notamment le roman « Snow Crash » de Neal Stephenson ou « Ready Player One » d’Ernest Cline, le metaverse se présente comme un monde en ligne virtuel et immersif. Chacun peut y vivre une partie de sa vie, sous la forme d’un avatar ou d’un hologramme. Pour Meta, cet univers promet davantage de contacts sociaux sans se déplacer, qu’il s’agisse d’organiser une réunion de travail, de participer à un cours de fitness ou de déambuler dans un magasin en pixels.

Vu d’ici, inutile de vous dire que nos vies vont commencer à ressembler à des épisodes de la célèbre série BlackMirror 😅.

Metaverse au-delà des jeux vidéo et de la pandémie

Les jeux vidéo comme Fortnite : Battle Royale et les plateformes de joueurs comme Roblox parlent de leurs propres metaverse. Ce n’est pas un hasard si ces plans se sont intensifiés pendant la pandémie de Covid-19, en réponse aux mesures de confinement. Le contact étant interdit, le jeu Epic Games et l’environnement ont été utilisé comme des espaces virtuels de socialisation. Dans les deux sites, des spectacles musicaux ont été organisés, des films ont été projetés et des festivals ont été organisés avec une particularité : les utilisateurs sont non seulement devant un écran, mais participent également à l’expérience avec les avatars ou les personnages qui les représentent dans cet univers virtuel.

Beaucoup de metaverse ressemblent à un jeu vidéo (même en termes esthétiques) mais ils transcenderont cette scène. En fait, ils le font déjà. Comme je l’ai dit plus haut, l’idée est de reproduire numériquement des dynamiques sociales et/ou quotidiennes, en assistant à un spectacle musical ou en faisant du shopping.

Bien sûr, la grande différence c’est l’immersion. En reprenant les exemples précités, il ne s’agit pas de regarder un concert à la télévision ou d’acheter via le e-commerce, actions déjà courantes. Il s’agit plutôt de le faire dans un univers alternatif bien que lié à la réalité.

Dans le cas du commerce électronique – également dans d’autres domaines – l’ancre est l’utilisateur ou l’acheteur lui-même, avec un pied dans le monde « réel » et l’autre dans le monde virtuel. Comme on l’a vu dans le roman « Snow Crash », le metaverse ne remplace pas le monde physique, mais le complète plutôt.

Que doivent retenir les marques de ces changements

La réalité virtuelle (VR) est l’une des clés des metaverse avancés. Si profiter d’un spectacle d’Ariana Grande sur Fortnite avec votre propre personnage sautant devant la scène virtuelle est déjà tendance, l’immersion que cette technologie favorise fait passer les univers parallèles au niveau supérieur.

Il est donc essentiel pour les marques, entreprises, de s’adapter rapidement à ces changements imminents de façons de « vivre ».

L’innovation est la clef du succès et ce peu importe le marché.

Les consommateurs/utilisateurs changent, évoluent, deviennent de plus en plus exigeants, ils en demanderont toujours plus, c’est pourquoi en tant que marque/entreprise, vous devez être prêt à accueillir le changement et à vous adapter aux nouveaux modes de consommation.

Par la transformation digitale, et l’innovation.

D’ailleurs, Mark Zuckerberg a d’ores et déjà annoncé dans une interview à The Verge, que d’ici 5 ans, l’entreprise sera une entreprise entièrement dédiée au Metaverse.

Alors commencez à préparer le futur, maintenant !

L’article Bye Facebook, Bonjour Meta : c’est officiel l’entreprise change de nom est apparu en premier sur Babaven.

• d’une idée,

• un produit et/ou un service à vendre,

• une stratégie.

Pour faire simple, ouvrir une boutique en ligne n’a rien de mystique. Le fonctionnement d’une boutique en ligne est presque le même qu’une boutique physique à quelques exceptions près (gestion des livraisons, stratégie digitale…).

Avant toute chose, il faut savoir que le e-commerce est en plein boom ! En France, mais aussi dans le monde :

Les chiffres clés du 1er trimestre 2021 en France

• Le secteur du e-commerce (produits et services) a atteint près de 30 milliards d’euros au 1er trimestre 2021, en hausse de 14,8% sur un an.
• Une situation toujours très contrastée entre ventes de biens et de services : la hausse des ventes de produits sur internet est estimée à +30%, alors que le e-tourisme sur le panel iCE chute à nouveau de 49%.
• La diversité de l’offre continue de croître avec un nombre de sites marchands en hausse de 12% par rapport à l’an dernier.
• 499 millions de transactions ont été recensées, soit une hausse annuelle de 17,8%.
• Le panier moyen est en légère baisse à 58 euros (vs 60 euros en 2019)

(source fevad.com)

J’espère que ces quelques chiffres sauront te conforter dans la mise en place de ton projet. Du coup, sans plus tarder, je commence par te donner quelques recommandations.

1- Ton offre répond-elle à un besoin existant ?

Le e-commerce, comme tout business, nécessite au préalable une étude de marché. Cette étape est très importante, car elle va te permettre de confirmer que le produit que tu vas proposer répond bien à un besoin du marché.

Pour cela, tu peux utiliser plusieurs techniques :

• SONDAGES OU ENTRETIENS CLIENTS

Les sondages et entretiens sont très efficaces pour comprendre les besoins et problèmes de tes clients. Ils te permettent de confirmer que ton offre répond à un réel besoin et également de préciser comment apporter une solution.

De plus, ils seront très utiles pour communiquer avec ton public. En transmettant le bon message aux bonne personnes. C’est ce qu’on appelle le « copywriting », c’est une technique qui augmentera tes chances de convertir tes utilisateurs en clients.

• “COMMENT MINING”

Recherches des informations suivies par ta cible. Cela peut être sur des blogs spécialisés, sur Amazon, sur des groupes Facebook, sur Instagram…

Comment analyser ces informations ? Lisez les commentaires ou les publications de vos consommateurs pour comprendre ce qu’ils disent, ce qu’ils aiment ou détestent, ce qu’ils recherchent, quels sont leurs problèmes, etc.

• ANALYSE DE LA CONCURRENCE

Identifie qui sont tes concurrents et étudies leurs sites en te posant ces questions :

• Qu’offres t-ils ?
• En quoi sont-ils différents des autres concurrents ?
• Quelles valeurs apportent-ils ?
• Quel est l’écart entre ton offre et la leur ?
• Quelles sont tes opportunités d’entrer sur le marché ?

Étudies ensuite, les avis et commentaires de leurs clients. Ainsi, tu comprendras mieux ce que ton public aime et n’aime pas, ce qu’ils attendent d’un tel produit/service.

Tu pourras plus facilement adapter ton offre. Tout cela te permettra ensuite de pouvoir définir ton client idéal.

2- Mode de vente avant de se lancer dans le e-commerce

Maintenant que tu connais un peu mieux ton marché et tes clients, il faudra choisir ton modèle.

3- Définis tes prix

Pour choisir les meilleurs prix pour tes produits, tu dois prendre en compte le coût de revient de tes produits et la marge que tu souhaites réaliser. Par « coût de revient », j’entends :

• Coûts de production et/ou d’achat
• Charges de fonctionnement de ton activité (stockage, publicité, envoi aux clients, salaire de vos salariés, etc.).

De plus, tu as probablement des concurrents. Penses donc, à étudier tes prix par rapport à tes concurrents.

4- Choisie la technologie qui convient le mieux à ton e-commerce

Avant de lancer ta boutique en ligne, une autre chose très importante à faire, c’est de choisir la technologie qui est le plus adapté à tes besoins. C’est comme choisir ton local.

S’il est trop grand, tu vas payer cher pour de l’espace non exploité, s’il est trop petit, tu vas très vite saturer ton espace, enfin s’il est mal situé, tes clients ne viendront pas.

Je te recommande de prendre le temps d’étudier les avantages et les inconvénients de chaque solution.

De lire les avis des utilisateurs pour choisir celui qui te convient le mieux car de nombreuses solutions existent sur le marché. Ce qui les différencies c’est le prix et la facilité d’utilisation.

Pour débuter, je te recommande de choisir Shopify, c’est une solution facile et rapide à prendre en main. Si non, je propose d’autres options dans cette vidéo 👇🏽

Par ailleurs, la meilleure des options, si tu ne t’y connais pas, c’est de t’adresser à un professionnel, cela te coûteras sûrement plus cher, mais la qualité sera au rendez-vous et tu seras bien accompagné jusqu’à l’aboutissement de ton projet.

5- Prépare une stratégie marketing en amont

• Le marketing en e-commerce est cruciale. En effet, contrairement à une boutique physique, – si tu es dans une avenue passante tu auras des clients – dans une boutique en ligne, si tu ne communique pas, tes clients ne sauront pas que tu existes.

C’est pourquoi, il est crucial d’investir en marketing, pour gagner en visibilité, en notoriété, convertir et transformer tes visiteurs en clients.

Dans les paragraphes suivants, je vais te donner quelques conseils pour préparer ta stratégie marketing pour ton e-commerce.

A/ INBOUND MARKETING

Mon premier conseil est de définir ton entonnoir de conversion avant de commencer tes premières actions marketing. L’entonnoir de conversion sont les étapes que tes clients réalisent dans leur processus d’achat, qui sont :

• Attirer ;
• Convertir ;
• Conclure (achat);
• Fidéliser

La création de ton entonnoir de conversion te permet de structurer, planifier et gérer toutes tes actions marketing dans les différents canaux.

6- Réglementation

Après tout cela, ne négliges surtout pas la partie juridique de ton e-commerce ! Une boutique en ligne, ne signifie pas faire ce que tu veux comme tu veux❌.

Il y a réglementation comprenant des obligations déclaratives (protection des consommateurs, TVA), des mentions obligatoires (mentions légales, CGU, CGV, RGPD, etc.) ou encore des règles précises de rétractation, expédition…

Je t’invites à lire attentivement le site du gouvernement, ou à prendre l’attache d’un avocat spécialisé dans le domaine qui répondra à toutes tes questions et t’aidera dans la rédaction de ta documentation légale.

7- Mise en ligne de ton e-commerce

Nous y sommes, c’est le moment tant attendu et redouté… 🚀

Proposes une première version de ton site et de tes produits à tes potentiels clients et mesures leurs enthousiasme, recueillir des avis. Ceux-ci sont essentiels pour adapter au mieux ton offre aux besoins de tes clients cibles.

8- Optimiser constamment ton e-commerce afin de fidéliser ton client

La fidélité de tes clients ne dépend plus seulement des produits ou des prix que tu proposes, mais aussi (et surtout) de l’expérience que tu proposes aux visiteurs de ta boutique en ligne.

Savais-tu que 44% des acheteurs parleront à leurs amis d’une mauvaise expérience ? C’est pourquoi il est nécessaire d’offrir une très bonne expérience à tes clients, avec une boutique en ligne optimisée.

Par exemple :

• Améliore la vitesse de chargement de tes pages,
• Un design responsive (qui s’adapte à tous les écrans),
• De belles pages produits, avec de belles photos ou vidéos, montrant tes produits sous plusieurs angles,
• Montrer des produits similaires,
• Des filtres pour faciliter la recherche,
• Un service client de qualité et facile à trouver.

Pour conclure…

Le e-commerce, c’est une entreprise, donc cela demande de l’attention et de la constance. Tu dois maintenant avoir une idée de ce qu’il faut faire pour lancer ton e-commerce. En bref, tu dois constamment essayer de nouvelles choses, mesurer et vous améliorer.

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Mais je pense que comme de nombreuses autres personnes, tu n’as pas bien compris, l’intérêt de ce label pour la Martinique.

Alors, je vais essayer de t’expliquer simplement, pourquoi, c’est important et ce que cela implique.

La French Tech, qu’est-ce-que c’est ?

La French Tech c’est un mouvement français international, pour les start-ups. Cette initiative a été portée par le ministère de l’Économie convaincu qu’il fallait favoriser l’émergence des start-ups à succès pour générer de la valeur économique et des emplois.

Mais c’est un écosystème qui réunit les start-ups, des grands groupes, des investisseurs, des décideurs, des community builders, des opérateurs publics, des instituts de recherche… qui s’engagent pour la croissance de ces start-ups au niveau local mais également pour leur rayonnement à l’international.

⚠️ L’initiative n’est pas cadrée par l’état, mais est fortement soutenue par lui.

Pourquoi intègre t-on cette communauté ?

Ce mouvement met en place différentes actions afin de fédérer, d’accélérer et de permettre aux start-ups de rayonner.

Fédérer : par la création d’une marque collective « French Tech », mais également grâce à son réseau national (plusieurs métropoles sont labellisées), et enfin grâce à l’engagement des acteurs publics.

Accélérer : la French tech dispose plusieurs dispositifs de nature pécuniaires « Bourse French Tech », « Frenc Tech Tremplin », « Pass French Tech », « French Tech Diversité », mais également un fond d’investissement opéré par Bpifrance.

Rayonner : encore une fois par leurs différents programmes, « French Tech Hubs », « French Tech Ticket » et notamment « French Tech Visa » qui permet l’obtention d’un titre de séjour pour les entrepreneurs, salariés, et investisseurs internationaux.

En d’autres termes, cette initiative amplifie la dynamique des start-ups françaises pour à long terme créer un environnement propice à leur croissance.

Qu’apporte ce label à la Martinique

Ce label permet à la Martinique d’avoir accès aux actions proposés par la French Tech, mais également de lancer des initiatives locales répondant aux problématiques des start-ups et entreprises locales.

Aussi, il permet à nos entreprises de rayonner à l’étranger. Enfin, ce label nous donne accès à des fonds dédiés et à une dynamique de réseau divers.

La Tech : Un outil au service développement et du rayonnement de la Martinique.
French Tech Martinique

FAQ des idées reçues sur la French Tech

L’article Labellisation French Tech en Martinique, oui, mais, pourquoi faire ? est apparu en premier sur Babaven.

La création de contenu qu’est-ce-que c’est ?

La création de contenu est un terme qui, en marketing digital englobe la production de textes, d’articles, d’images, la création graphique, vidéo, audio, etc. Qui offre une information, un divertissement ou de la valeur pour in fine atteindre des objectifs particuliers : créer du trafic web et avoir des clients.

Concrètement, nous sommes tous en mesure de créer du contenu et d’apporter de la valeur. Mais peu de personnes sont capables de créer une intention d’achat à travers le contenu. C’est là où est toute la différence.

Mais qui se charge de la création de contenu ?

Créer du contenu digital de qualité (oui, parce que comme je te l’ai dit plus haut, il ne suffit pas de créer un contenu), permettant d’attirer des clients potentiels est généralement un travail d’équipe. Ci-dessous, je te fais une petite liste de certains profils qui sont normalement impliqués dans cette démarche :

Experts en marketing digital : Des pros qui connaissent l’intégralité des processus d’inbound marketing et qui sont capables de faire des recherches et la prospection nécessaire pour créer des calendriers éditoriaux efficaces.

Copywriter : Ce sont ceux qui se chargent d’écrire les textes de contenus. Généralement, ils ont des connaissances en rédaction marketing, mais également en SEO.

Graphiste / Designer / Vidéastes… : Ce sont eux qui vont se charger de créer et d’éditer les contenus audio, photo, vidéo…

Développeurs : Ils se chargeront d’intégrer le contenu au site web. Très souvent, ils peuvent aussi créer du contenu interactif, comme des jeux, des infographies dynamiques, etc.

Community manager : Eux, sont en charge de déterminer et de concrétiser les stratégies de diffusion du contenu sur les réseaux sociaux.

Ce que tu dois absolument retenir

Si tu as bien compris cet article, tu sais maintenant que la création de contenu fait partie intégrante de la stratégie de marketing de contenu et que l’un ne va pas sans l’autre. Mais aussi, qu’il ne suffit pas d’être bon en création de contenu pour pouvoir avoir des résultats.

Réussir ta stratégie d’inbound marketing implique de savoir :

• à qui tu t’adresses,
• avoir une stratégie de contenu et un planning de publication de contenu (même si, en réalité tu ne va pas le suivre de façon stricte),
• être discipliné et constant,
• ne pas espérer avoir des résultats du jour au lendemain,
• comprendre qu’apporter quelque chose sans rien demander en retour aujourd’hui à tes clients pourra t’apporter des bénéfices à l’avenir,
• savoir collaborer avec d’autres pour aller plus loin.

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Malheureusement, aujourd’hui, bien que la pandémie ait poussé bon nombre d’entre vous à pousser la porte du digital, nombreux sont encore ceux qui craignent de se lancer dans cette transition digitale par manque de connaissances et de maîtrise en la matière. C’est pourquoi, de nombreuses entreprises continuent d’évoluer avec des process de travail obsolètes et peu rentables.

La digitalisation offre à ton entreprise une opportunité en or de gagner en compétitivité dans un monde toujours plus tourné vers la technologie.

Mais est-ce que tu sais vraiment ce que c’est et ce que cela implique ? 🤔

En quoi consiste la transformation digitale ?

Le concept de transformation digitale est souvent très confus, même en faisant des recherches sur le net. On trouve de nombreuses informations qui parfois nous induisent en erreur.

Je vais donc essayer de t’expliquer clairement ce que c’est.

La transformation digitale c’est le fait d’intégrer de nouvelles technologies dans tous les domaines de ton entreprise, afin de changer sa façon de fonctionner. L’objectif est d’optimiser les processus et d’améliorer sa compétitivité et ainsi offrir de la valeur à tes clients.

Pourtant, pour réussir ta transition digitale, il ne te suffit pas d’acheter des ordinateurs plus puissants, d’installer un ERP ou simplement d’avoir un site internet. La transformation digitale implique un changement de mentalité de la direction mais aussi des employés.

C’est parier sur l’avenir de nouvelles méthodes de travail et tirer profit de la digitalisation.

Quels sont ses avantages ?

Intégrer la digitalisation dans tous les domaines et process de l’entreprise génère des avantages compétitifs à court, moyen et long terme qui sont inégalables :

• Instaurer une culture de l’innovation au sein de ton entreprise
• Améliorer l’efficacité des processus donc une meilleure productivité
• Contribuer à instaurer un travail collaboratif et une communication interne plus fluide
• Optimiser les échanges en interne mais également avec tes clients
• Créer de nouvelles opportunités de business grâce à l’analyse de données, la fameuse « Data »
• Améliorer l’expérience de ton client et sa relation avec ta marque

Il ne faut plus considérer le digital comme une option. Ton entreprise a besoin de se renouveler constamment en s’adaptant à la digitalisation si tu veux qu’elle soit compétitive.

Et pour cela aujourd’hui il y a plusieurs moyens d’y arriver.

Comment aller vers cette transformation digitale ?

La transformation digitale repose selon moi sur quatre piliers fondamentaux : technologie, expérience client, culture d’entreprise et objectifs.

Tu peux te sentir dépassé quand on parle de transformation digitale. Tu peux même te dire que tu n’es pas en mesure de mener ces changements à court terme, surtout, quand on doit l’envisager comme un changement radical.

Mais en réalité, la digitalisation doit se concevoir comme un processus lent dépendant des capacités et des besoins de chaque entreprise. Il faut tenir compte du fait que son intégration dépend de tous les acteurs de ton entreprise.

La digitalisation doit aussi se faire en pensant aux besoins futurs de ton entreprise, et surtout la voir comme un élément indispensable.

Mais du coup, tu me dis tout ça, mais comment dois-je faire pour entamer ces changements ?

• Sortir de ta zone de confort
• Te former

Aussi simple que ça. Se dire qu’en tant qu’entreteneur, ou quelque soit ton poste, tu dois sortir de ta zone de confort. Tu dois prendre le risque d’essayer de nouvelles choses et avoir un esprit ouvert au renouveau.

La transformation digitale ne doit pas forcément être un processus compliqué et chaotique.

La peur du changement et le confort d’une position font que beaucoup d’entreprises perdent du terrain face à ceux qui ont misé sur cette transformation digitale. On le ressent surtout dans leur relations très éloignés avec leur clients.

La formation et l’apprentissage de ces nouveaux procédés sont la clé.

Les consommateurs d’aujourd’hui, utilisent les nouvelles technologies comme partie intégrante de leur vie quotidienne, alors ose te lancer dans cette transition digitale. 🚀

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